fugue, commencement, itération. La lunaire mûrit sur le vert
cru
de la haie dans les gravats, paramentique violette pour la
pénitence, -
mais ce n’est pas le Pape, seulement sa monnaie, et ça tourne au thiase
dionysiaque adjurant la croissance -,
l’air fraîchit, le tilleul n’a pas bougé et ne cesse de
bouger.)
Ainsi c’est le poème répétitif, dis-tu, qui permet de trouver
la racine du désir, par approximations successives, comme
en un calcul ? Un procédé comme un autre, un progrès
comme
un autre. Approches, touchers, rendus. Témoigne. Accepte (le
plus
difficile) accepte le don qui te trouve et te cerne un
moment,
certes, mais sans enfermer. Ta parole ?! Donne du cœur
en retour, à transcrire la parole bourdonnante, éprouvée,
- même si pas
toujours aussi probante et fructifère que
nécessaire -,
laisse le poème bourgeonner et fleurir avec la saison,
reprends !, reprends !, comme tu aspires à
l’air neuf,
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