Nos paroles soient nos fleurs. Des fois qu’elles éclosent
(ce n’est pas tant consolation qu’offerte résolution momentanée
de nos motifs insolubles, cette éclosion).
Beauté incongrue que nous ne savons pas nommer,
qu’importe ! J’ignore ton vrai visage. J’ignore tes
dispositions.
Mais je sens seulement que je te suis,
véhémente amante, toute ouïe.
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