C’est cet accord - je sais et
je ne sais pas
ce qui se passe entre les choses et entre nous -
que passant j’entends, le tempo,
le mémorable front sylvain
rythmé de pins comme des portes
vers le cœur insondable,
que moi-même buissonnante je suis
et dépliant le gué,
c’est cet accord que j’appelle monde
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