L’amour est tout à la lisière de cette forêt où
les pins raccordent leur figure à l’incommensurable profondeur
(l’impensable) - silhouettes à l’exergue
il n’est que de les consigner, le sens vient après
lorsque le paysage se déplie et s’épanouit à notre insu -
des pins comme des cytharèdes et
plus loin des feuillages dansent.
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