(quand j’attends dans les coudriers que le bras)
cet accord autre,
le bras tendineux contournant le tronc
et la main gauche, son mouvement lent et appuyé
sur la branche l’enjoint de céder
(lequel des deux au juste, du bras ou de l’arbre, oscille)
de céder,
(son corps que la lumière parcellise déjà)
et il cède,
après qu’il a neigé dans l’ombre d’août
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