et choit la bran
che
en ouvrant dans le feuillage un puits.
La coupe est franche
comme l’eau peut être glaciale.
Moi je vacille
sous le coup de lumière
sous le coup
du coudrier
cédant une branche et gagnant la partie.
Moi dans l’arbre c’est lui qui embrasse
qui
par-dessus le mur
(ou racines plongeant dans ses fondations)
épaule le paysage.
J’ai la sensation qu’il encourt -
bien que saigné aux ars -
son souffle près de mon oreille,
excorié.
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