Que chaque chose soit le motif acceptable de la volonté
le motif de se lever pour faire. Ma volonté sans motif et
sans faire - ce faire qui fait dériver l’objet comme le
fleuve le bois flotté
dans le reflet des façades qu’il plisse et étire et
ainsi déforme ce qui est un leurre de profondeur pour nous
ramener à la surface crêpelée
où les feuilles glissent élégantes assiettes jaune et or
insensibles aux lueurs et
aux remous des traînes à frisures des colverts - ma
volonté :
rien sans le faire qu’est le fleuve et le bois qu’est la
chose observée
dont émerge la réalité malléable à l’infini : une
pensée.
La même chose toujours autrement pensée.
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