Ses feuilles en forme de glaives pointés
masquaient dans leur faisceau les tiges à feuilles
caulinaires
que j’allais visiter. Trois est le chiffre de sa fleur érigé
autant de fois que fleurit la couronne à trois tépales
connivents hors de trois tépales étroits dressés
entourant trois stigmates et trois étamines. Ce qui fait
quatre fois trois attributs synthétisés sur l’écu en trois
pétales
rabattus ceinturés d’un biais.
C’est lui l’iris des marais dont une colonie stabilisait
les vasières de la Vienne qui permit le passage de Clovis
( s’ensuit la victoire
sur les wisigoths à Vouillé ).
Le retour sur l’autre rive, spectaculaire.
La cohorte était somptueuse au printemps véhément.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire