Talus d’herbes peignées
- mortes aux cheveux gris
pliées sur le relief et
sans aucune ombre sinon
la vôtre propre - et vous
oiseaux incessants affairés
dans la haie à quelque chose de plus
- plus grand et plus pressé -
vous débordant la peur et
avec enthousiasme à vos bâtis,
c’est ce qui remue et me remue.
Moi, je viens chercher des pailles et
faire le bouquet de vos cris
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