Et là même ces variations d’amenée
- de la colonne d’air tourmentée qu’est le vent -
jouent un rôle à mon oreille. Je m’appuie
sur des mouvements des silences chargés
des pensées comprimées, frictionnées
aux feuilles des massifs d’anémones,
aux puissantes paroles des buissons.
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