Quand c’est l’intonation et le timbre.
C’est toujours un seul poème qui s’étoffe
en écoutant les voix.
Des cornets du liseron la candeur propagée
à la page.
Je me suis perdue dans le bois - mais va ! en retournant
je suis sûre d’une chose : je te suis, j’habite ta voix,
toi, ne te retourne
pas !
Éclipse de feuilles dans la nuit - fatidique - ta voix
persiste
dans le chuintement.
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