La voix chaude - à
l’inflexion
du répit - sur
l’armure des bois
dit donne l’eau de ta
bouche et permets-toi de défaillir
quand je me retourne vers la maison,
en paix.
Car nous ne pouvons vivre constamment armoriés
sur le pied de guerre.
Combien dérisoire paraît le sens des mots, d’ici,
quand c’est l’intonation et le débit qui chantent dans le soir.
Tout semble revenir à l’unique motif : la soie
fraîche des liserons déployée
tout près du tilleul sur les massifs assoiffés.
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