Parfois la nuit taciturne retient toute voix.
À peine est-il un souffle sous le tilleul - lui toujours
abondant
à nos oreilles, tout proche, sa charitable inclination
abreuve jusqu’au sol.
Des bêtes respirent, est-ce la vibration d’un téléphone
à l’intérieur, ou une hallucination.
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