Aucun cercle ne rend compte de sa révolution. L’esparcette,
l’esparcette, sa tranquille libration
ne nivelle pas plus la prairie fauchée ras.
Le fourrage est rentré.
Un sourire a fané comme une fleur, sans ruines,
ailleurs
pleuvent les bombes.
L’alkékenge maintenant
coquerique,
poussant son rhombe.
Le chat s’engouffre dans le cri et se perd.
J’épelle un fruit, dit-il, qui disparaît*
irrévocablement.
*Benoît Sudreau, « La couleur sur les toits », in Catharogrammes, in Charges, éditions tituli, Paris, 2020, page 12
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