Mais moi je détiens mon amour - chaud -
à une profondeur où les images
non seulement prennent mais se maintiennent.
Contraint par l’absence et magnifié par l’absence.
Je consens à l’obsidionale image qui tient lieu de sujet,
reprends de cette la ferveur qui incendie la page.
Page - ce désir - que le trèfle enlumine
par un violet présent en marge de mes vœux
(l’obole est apaisante et dépurative),
peut-on vraiment parler palingénésie ?
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