Et maintenant la nuit verticale - nuit d’août -
( que les grillons prédisent ). Comment alors
comment douter de leur - pré où l’ortie et la menthe jouxtent
-
dire est un chant d’appel - ou le devrait - Ma sœur, viens !
- et de cour
tout au bord
des tutes noires que harpes et miroirs amplifient ( la nuit
).
Le chant tutélaire à deux têtes redouble.
Dans l’espace des miroirs
devancée par ton ombre je suis passée.
Ma sœur en un tel lieu
croissent l’orge et le millet…
Ma sœur, une fontaine
coule dans ce bosquet
Dans l’ombre ton visage sans reflet
s’enquiert de qui je suis.
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