Seulement alors je vois - ici au tamis des ( potamots )
roseaux rubaniers et salicaires ( mes sanguines lancéolées ) -
- du nom et de la chose au mot en écoutant -
le nombreux Hypericum
des bords d’Asco - celui qui chasse les fantômes -
on le dit
Arba di San Ghjuvan, Blutkraut, Johannisblut
et Terrestial sun
( parce qu’en rouge il colore huiles et eaux )
lui le vulnéraire Millepertuis
qui pansa nos brûlures.
Quoique sans cesse au
bord d’un feu
quoique sans cesse - je sache bien - la sèche méprise
je voudrais laisser l’eau à la pensée percluse de mes fleurs.
Voici en réponse à tes mots ceux-ci : c’est la mesure
perçue dans l’épreuve, l’autre muid
d’août que tu nommas
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