Rousse non pas sélène mais terrestre
et parfois tarie
sources imbues de clématites et de vignes
des éclats de figuiers ont grandi
à l’assaut de rocs.
Je bois des sentiers tors d’éboulis de ruines et de ruches
ici aussi ronces et cirses assignent.
Revers sans eau
le pied dévers dévie et foule
la pierre l’asperge et l’ortie
non élucidées.
Je t’écris ce soir le chemin de signes
nécessaires : ici aussi c’est Connemara jusque tard.
À ma joue gauchie - le poing fut franc -
ce champ rugueux aromatique
qui caresse et panse.
Ce sont les agaves accords que j’entends.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire