Feu de tes glaives
iris jaune faux acore
dit des marais
feu de ta fleur si fine emportée sur la svelte
tige. Fleuron claironnant haut. Ou Roland
de tout son cor.
Dans la boue tes rhizomes sont la réserve
un Enfer provisoire
qu’il me faut visible pour continuer
sachant, clairon des bords de Lys,
enfin comment recommencer.
Enfin faire avec la dormance.
Pourquoi
tiens-tu ? Pourquoi lâches-tu ?
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