Que les mots ne séparent pas de la réalité
mais qu’ils la créent - veuillent l’être -
par saillies quotidiennes depuis mes veines,
l’abreuvent tandis que je
s’évanouit
- que je, en
citerne, s’épuise -
( jusqu’aux
capillaires siphonnés )
cependant qu’elle
elle réalise et dilapide
ce qui est
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