Je le veux bien.
( porte toute ton attention à la pierre
qui roule
dans la sente.
Toute ton attention porte-la
à l’ombre portée du millepertuis perforé,
à la pierre qui roule
et à la fougère )
Lanterne magique, c’est un geste une danse
macabre.
Et son manège à lui :
son ombre foraine
portée sur nous.
Fondu enchaîné.
La fougère frissonne à notre contact
dans la descente.
Mais le soleil ne voit pas l’ombre.
Non, nulle filette à la patte du milan.
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