Oh je pâtis vraiment, ou je dois dire véritablement,
de voir les phalènes, les unes rampant
comme atrophiées, les mâles papillonnant lamentablement
à l’opposé. Chacun tire de son côté.
Mais c’est la vie sur ce mur éclairé la vie qui
perdure ainsi, radicalement
La nature trouve toujours simplement une
autre issue
Oui c’est ça ! Ce qui a été sera nouveau
résiduel et résurgent
comme l’eau
comme j’aurais aimé te parler de cette eau.
Mais déjà je ne te vois plus.
( pourtant ce ne sont pas des spectres que je regarde là )
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