On soustrait la pierre numéraire au paysage
elle ne fait pas un chemin perrin dans ta tête.
Nivéal est l’épithète et le vent aujourd’hui
qui tarit les pommiers ne tardera pas à calciner
le geste printanier.
Et à tordre les plus délicats.
De quoi a-t-on l’air
avec les tempes durcies
et le sang quasi frigorifique - c’est à voir
si je ne répands pas le froid autour de moi -
blanc sur blanc dans la lumière du nord.
Pour voir il faut bien respirer.
J’aurais voulu parler de grâce mais c’est d’aléas,
de froidure et d’amertume, ne sachant plus où te trouver
au juste, printemps.
Il y a un manteau bleu pour ce jour-là
mais le concept en est tout à fait vide. Le noir
est plus nécessaire et plus chaud, brodé d’orfrois
et d’un serpentin végétal. Ou bien le rouge.
Un spectacle : j’adopte le dispositif dans
le système de visée.
Il n’y a pas de
gratitude dans la pitié et le remède*.
Promène-toi avec l’amour et la mort en stricte aînée.
La question ne vient
pas avant qu’il y ait une citation*.
Par exploit de nature s’en est une, de citation, ce
feuillage nivéal
incite au témoignage ordinaire, avec la voix du vent
qui marche toujours plus vite que toi
*Gertrude Stein, Tendres boutons, Nous éditions, p. 9 et
10
Adèle il m'est impossible de répondre sur ma page Facebook je ne peux que communiquer avec des photos car il est ouvert à tous mes amis.Toi tu n'y apparais pas et je ne peux pas isoler un texte,c'est ce qui fait le charme ,les incompréhensions,les doutes .....
RépondreSupprimerJe ne comprends pas... et pour moi vous apparaissez ( tu apparais )ici comme "inconnu" ! Du coup je ne sais qui parle, et qui veut quoi !
RépondreSupprimerToute la difficulté vient de là C'est Alain Blancard Album Homologie sur Facebook mais c'est difficile à t'expliquer je ne voulais pas rentrer sur ton blog dans case commentaires; de plus je suis en train de t'écrire d'une façon complètement nulle
RépondreSupprimerBonsoir ( ou bonjour ) Alain Blancard ! Bienvenue ! Merci pour la visite ! ( en effet, je n'ai plus de compte Fb depuis plus d'un an... ) Mais je n'ai pas disparu, je suis là, et on peut malgré tout m'écrire via la page contact de mon site.
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