Chaque amour chaque perte
informe sur le monde bien au contraire
(sa profondeur sympathique, sa dureté, sa réalité,
capacité de variation et de génération que rien n’enraye
- ni plus de guerre ni plus de paix - :
mort et prolifération concomitantes
inextricablement liées)
on ne peut décrire l’amour ni la douleur
mais enregistrer les battements de ce
cœur de monde incoercible, oui.
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