leur iris clair fleurissait la nuit dilatée
réfléchissant le halo
et le jour comme les onagres ils concentraient
leur vision infléchie
enroulés sur eux-mêmes
(je parle de l’été mémorable où
je les ai attendus tous deux au bord du pré
toutes les nuits
et les voyais accourir à mon signal
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