Ma mémoire amplexicore
revient
avec ce roux, panser l’absence (mais pas l’amour
jamais atteint)
élaborer le récit de la vie
l’enveloppement par les images
leur intégration au cœur impulsif du désir
- la désolation grandiose et le désarroi magnifique -
impulser
dans l’ampleur des sensations
le Repartir, sans dénier toutefois l’inéluctable faillite,
ni le fatidique, le pesant inaccompli.
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