Je te suis tilleul quand tu courbes la voûte quand tu plies sous
le vent et je te suis lorsque courbée je ramasse pour les lier tous tes défaits,
toutes tes morts, branches qui n’en sont plus, du bois assez bois pour le fagot
encore, et la résolution du feu, tandis que toi, déjà tout autre, tu perdures
en devenant l’œil que je devine à chaque pointe extrême de toi-même,
projective.
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