L’oiseau que je tiens dans la main comme mobile
et l’eau qui coule de nouveau où poussent raiponces et
stellaires
entre les graviers
au bord des lèvres probable un pli d’ombre de ténèbres les
mots déposés
impénétrés
des galets de rivière roulent au fond
sur l’escalier la linaire cymbalaire Ruine de Rome l’impétrante je la laisse faire
comme je laisse faire l’insolite la noyée est docile
déjà dans mars avancé
la terre tendre et fermée
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