Comme l’expression des corps, lorsque sur le rocher
- ce long rocher que longe la couleuvre tessellée -
je reste muette à fixer les potamots.
Prostrée quand tout s’enfuit.
Et d’abord les demoiselles.
Penser n’a jamais
bonne issue, dit Pessoa.
D’ici je pense découler.
Fernando Pessoa, Visage avec masques, poèmes des
principaux hétéronymes, traduits et présentés par Armand Guibert, Alfred Eibel
éditeur, Lausanne, 1978
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