Le visage de l’effroi avant toute pensée.
Nous nous examinons nombreuses et sans rien tenter.
Sa pupille ronde fixe je ne sais quoi à mi-hauteur,
son corps est un feu, une langue brasille
et crépite. Vacille la douceur des ombres sous la surface
quand ce feu afflue aussi dans mon corps vain.
La pensée de l’espace - où flambent ses tesselles
dans l’eau mêlée de l’herbier - encore une fois me dérobe.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire