Je suis sur un rocher pétrifiée.
La couleuvre ondule sur place dans l'eau qui boucle,
une source
d'herbe, de feu d'herbes,
évasée, envahissante dans l'herbier des potamots
l'eau dormante propage ce feu qui me rappelle Ophélie.
Je la perds aussitôt. C'est alors que je la
perds.
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