mais les affaires continuent quoique nous éprouvions cette
attraction.
Il y a cet autre char, le nôtre, celui que nous conduisons.
Nous nous détournons inassouvis, on dirait qu’il n’y a aucun
moyen d’échapper
à la raison qui nous fait faire nombre de gestes inessentiels
autant qu’inadéquats, tels que tondre l’herbe ou
entretenir les surfaces.
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