Or nous voici à l'aube, réveillé par la subversion totale des
cerisiers,
une nouvelle fois. Comment dire ? Par la folie des
oiseaux.
Comme si nous nous levions pour la première fois,
cette floraison asymptotique,
dit-il à juste titre,
comme l’alerte et la révélation produite, nous
fait perdre pied :
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