Comme je comprends qu'Amelia Rosselli
la dise dissidente.
Herbe dissidente entre les pieds emmêlés*.
C'est l'hiver qui piétine la discorde en chaque touradon. Le
gris
domine encore et vainc sous la verdeur grêle. Le vent
vivifie la contrée des bruns. Sa voix viride a secoué la torpeur,
chacun des chaumes siffle un air avisé entre des nœuds
anciens.
Pré sanguin a son de fer déjà. Au coffin l'eau gèle encore.
Son acuité lancinante, le corps contraint de s’y
voir brin à brin *Amelia Rosselli, Document
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