Tandis que tu me lis le poème
( il y est question de prédicat et d’herbe
ou de prédicat dans l’herbe je ne sais pas
- et d’herbe dans l’herbe en tout cas
ici c’est un pré déjà bien fleuri
de pâquerettes - ) j’entends le vent tapageur
j’entends l’air qui est dans l’herbe
persifleur dit mille
fois avisé
jusque dans l’aparté des courtils.
Celui-ci dont l’herbe n’a pas coupé les pieds
il court devant, langue
pendue au clou
à droite en entrant avec la muselière
et le bâton. Cela fait-il de lui un berger, dis-moi ?
Merci pour ce poème partagé ,je me sens libre en le lisant , il respire
RépondreSupprimerc'est aussi l'effet de beaucoup d'herbe parcourue, les pieds nus, avant l'écriture, non ?
RépondreSupprimerOUI avec des "pâquerettes",,,,,?
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