La prune survit
à son poème*
Comme la prune qui survit à son poème
la lune je m’en réjouis survit aussi,
entée sur le tilleul, et personne
- à qui parler ? - jusqu’à ce qu’on l’entende, ou pas,
( pour peu, quand même,
qu’une oreille passe )
per-sonne - un verbe à mes pas -
luit jusque
dans l'herbe*Wallace Stevens, Le comédien en lettre C, V, Harmonium, traduction Gilles Mourier
Dans l'Herbe
RépondreSupprimerPour elle il a composé tout les jours
De nouveaux titres pour la "FB"
Dans la plus intime "homologie"
Voyant son inquiétude il a même
doublé voir triplé l'attention
A l'envoie
Merci de la visite, voix qu'il me semble (re )connaître ? Je ne sais pas, je ne sais plus ! De l'écho certain dans l'herbe en tout cas.
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