Les poires ne sont pas
des violes*
ni les jours des nuits plus prosaïques
des puits que la lumière tarit, non, on ne joue pas
de cette musique-ci sur ces cordes-là
cependant
les ombres et les taches, parce qu’elles sont déjà des
images,
peuvent être vues au gré du regardeur
*Wallace Stevens, Étude de deux poires, Partie d’un monde, Éditions Unes, 1989, traduction Bernard Noël
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