Est-ce que ça le change des phrases longues du
printemps ? Non pas vraiment.
Mais qu’est-ce que cet autre
quand on ne peut définir, déjà, la spécificité
de l’un et de l’instant ? L’automne rend visible
simultanément l’autre chose en elle-même,
tout comme le printemps, et la multiplicité des choses
possibles dans ce mouvement
où toutes s’agrègent et se désagrègent, engrangements,
engrènements,
rougissements qui ne font jamais défaut. Où un chat
lunatique traverse le pré couleur
brique, l’herbe semble différente, assouplie sous son pas
précautionneux,
presque révérencieux. Il rêve, je le regarde et,
non, je ne désespère pas de vivre ma vie.
dans la soupente du "vivre", même affublé·es de racines anciennes qui nous retiennent encore, nous disposons d'un siège
RépondreSupprimeret assis nous soufflons
et nous levons les yeux, nous le pouvons
et
un ciel commun opère ...
Comme une anticipation de la photographie prévue aujourd'hui: l'assise ! Comment faites-vous ?
RépondreSupprimerCoïncidence !
RépondreSupprimer