Comme lui je vois le monde, comme une fleur,
(nous voyons le monde comme une fleur)
au bord du jardin saturé de l’hiver de sa présence
(comment dire autrement) à hauteur de feuille d’herbe
le monde est plus diversifié, divers et consonantique,
lui y tenait son rôle devant la galerie non dissimulée du campagnol de champs
comme le vent devant la perce-neige.
C’est là la musique d’un massacre constant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire