Tous les oiseaux gagnent la grève
ou l’allée de gravier qui entoure le pré
ses rouleaux de fanes sèches et leur mouvement ondulatoire
déferle sur eux quand tempétueux
quand manque un seul maillon au profit visible
toute la chaîne s’égaye
au détriment (bruyamment)
de l’équilibre que je voyais
les voici qui s’égaillent - aussi bien -
dispersant des semences noires les voici
qui sèment
les merles dansent
lui, le vent lamentable,
nous lancine.
Répand son air.
Lamentation que j’imagine prédicat
et dans cette attente glacée,
j’admets jusqu’au gel de l’écran.
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