Le voilà.
C’est cet œil, dont je sais la permanence
énigmatique
caché dans le hallier du monde, immobile
et fidèle au poème.
Fidèle, attendra-t-il que je décèle l’intrigue
de sa disparition ?
Sous les branchages j’envie la quête, je surprends
la vie menue des traqués par le froid et la faim
l’œil limpide m’observant
il repose sur moi.
Que veux-tu dire avec ton annonce de mort ?
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