Je dis la réciprocité de nos vies
le chemin parcouru, le désarroi.
L’écho dans les bois claironne à la nuit tombante,
des lueurs de cuivres résonnent de fût en fût
qui instrumentent le présent qu’il occupe, étant partout,
chez lui
(roux comme son jumeau), attisent
sa flamme jouant de son double foyer.
Le bois le reconnaît sien avant tout leurre.
De fût en fût danse son feu
(je n’accepte pas le passé le concernant).
Il est partout.
Le cherchant je ne vois que les signes cherchés.
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