Là est le silène dioïque
dont la première fleur – apicale, terminale –
arrête et définit l’axe principal,
une fin qui engrène aussitôt la ramification :
voyez tout l’art du contournement, de la diversion et
de la démultiplication des forces dans un simple !
Alors je, touché, s’en remet à la fleur qui dans sa fin sans ruine admet l’équivoque,
plutôt qu’à l’abomination des discours d’intention.
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