le réel, la rudesse d’un mur
qu’investissent la capillaire des murailles et la valériane
il peut vouloir aller au-delà
ou s’enraciner aussi (la même fièvre
le même essor), au côté des myosotis
fougères mâles et capillaires
l’austérité de son je vite gagnée par la profusion
de la réalité (il y a de quoi faire
en ce mur !) des images qu’il apporte,
et s’il y mêle le parfum des mélisses !
Il est la proie de sa profusion consentie,
de son imagination fertile :
il s’en remet sans cesse à l’effroi… et au feu,
c’est ce chaud-froid qui fourbit son arme
– la dureté de son fer –
comme à la forge
« ne tombe pas ailleurs qu’ici
je
foudroyé par la fièvre
devant ce mur »
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