Il y a un monde ici et c’est un jeu d’optique.
Plus crûment que n’importe quel strident
girophare ce feu-là intime l’urgence de jouer.
Tu joues avec le
feu ? Oui. Feu par lui-même -
qui s’alimente - luit simplement et sans objectif
sur la neige autre qu’aller vers sa résolution.
Son giroiement - qui
ne mire rien* - est sa voracité
en prise avec le vent et son motif.
*Wallace
Stevens, Nuances d’un thème par Williams,
Harmonium, traduction de Gilles Mourier
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