Des tiges un chant sibilant
comme une respiration disséminée
dans la saulaie. Et si je m’essaie
à faire la tare je n’entends pas, non,
ni ne peux distinguer, sinon celles-ci
pas le moindre souffle. Non,
c’est à peine si elles oscillent.
Scirpe de concert avec l’air,
roseaux et massettes, un long frisson,
et puis le faux acore aigu comme un cri
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