La pantomime des
merles et des pies se poursuit.
C’est, oui, ce paysage-effet,
son vert effet sur
moi, l’attouchement, ou, plus justement l’abouchement
de leur aile et de ces lignes, flexueuses allures
de caresses, en vols anguleux ou circulaires.
-Donnez-moi donc une
ombre !, hélai-je au réveil ce matin,
levant la main, alors que je me trouvais sur une sorte d’estrade.
Rêvais-je, encore ?
Parce que dans toute ombre, une indéchiffrable cause nous retient
qui nous instruit toujours.
Si c’est la vie indéniablement ou la comédie, on
ne sait pas bien.
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