Ensuite les bosquets nègres avec la nuit derrière eux,
pleine d’yeux.
Au faite si on y prend garde il y a toujours un compte à
régler.
L’autre soir c’était un combat de bergeronnettes.
Et en ce moment même le tilleul halète. La lutte
retentissante
donne sa forme à la nuit.
Je n’ose plus rien écrire qui n’ait cette brutalité martelée
pour gabarit.
Des variations de roses et de cris
s’imposent
et une fugue quand j’écris j’ouvre la porte et m’insurge
sans
trouver la moindre épigramme
au reste
à l’espace, à feu et à sang
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