J’y pense, ce n’est pas par-dessus
des scènes champêtres que Goya peignit
ses peintures noires, dont celle-ci, Átropos, sur l’un des murs
de la Quinta
del Sordo ? Les implacables trameuses
- mais dans quel but ? - d’un rehaut grossier bafouent
l’églogue.
Leur difformité - monstres d’inexorabilité
et de zèle exalté - affloue, et
ce n’est pas un vague fleuve mais
un torrent de lave
qui déferle sur notre idylle.
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