Noms disparus, noms des disparus, noms
réduits, pour certains, à d’autres fins
(ou au renom). Vain noms,
mais aussi noms
vibrants, mystérieux
refuges d’associations et de suggestions
prolifique gisement de vie possible - filon,
je te suis - ce mystère au cœur même
de l’effacement et du manque,
parole,
souffle mille fois justifié où tu apparais.
Qu’est-ce qui en rejaillit ? Goya
ou l’amour resurgit
immanquablement
jusqu’à rafraîchir la couleur atmosphérique,
je me rappelle, je reviens à moi - sait-on comment
ce que je suis me rappelle -.
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